La Pyramide, un condominium de prestige La Pyramide est le premier condominium à voir le jour à l’Ile-des-Soeurs et parmi les premiers au Québec. Conçue par Janusz Warunkiewicz, architecte canadien d’origine polonaise, construite en 1977 par la compagnie Beaver Cook and Leith Ltd et développée par Unihome Ltd, propriété de Johan Nachmanson, promoteur immobilier d’origine suédoise, La Pyramide se distingue par son architecture unique et sa construction de qualité supérieure. Ses 157 appartements sur onze étages offrent plus de 60 modèles différents répartis sur un ou deux niveaux dont plusieurs jouissent d’un jardin, d’un balcon ou d’une terrasse privée. Sise sur la berge du fleuve et à proximité du centre-ville de Montréal, La Pyramide bénéficie d’un positionnement stratégique.
Un environnement naturel La Pyramide déploie ses trois bras sur un vaste terrain aux arbres matures donnant accès au majestueux fleuve Saint-Laurent. Sa bande riveraine naturelle permet d’y observer la faune et la flore dans leur habitat naturel. La vue panoramique des appartements, leurs spacieux jardins, balcons et terrasses permettent d’admirer le paysage, de jardiner, de profiter du plein air, de la lumière et de la chaleur du soleil. L’Île-des-Soeurs offre également la richesse d’un domaine boisé désigné comme écosystème forestier exceptionnel et véritable réserve ornithologique et végétale.
Un sentiment de sécurité La longue entrée dans une rue privée, l’environnement adapté aux personnes à mobilité réduite, le système d’alarme-incendie et la disponibilité d’un employé 24/7 confèrent calme et quiétude aux résidents.
Des commodités Électricité, chauffage et eau chaude inclus dans les frais de condominium Câble de base Ascenseurs Buanderie et salon attenant avec vue sur le fleuve Stationnement intérieur et ouvre-porte électrique Espace intérieur de lave-auto
Des attraits récréatifs Accès privilégié au fleuve pour les amateurs de canot ou de kayak Piscine creusée extérieure à l’eau saline chauffée Salle d’exercice, terrain de squash et saunas
Tous les services à quelques pas Autoroutes (10, 15, 20 et 30), ponts Champlain et Victoria, transport en commun, pistes cyclables et sentiers pédestres vers Montréal et la Rive-Sud Garderies et deux écoles primaires, bibliothèque, centre communautaire et centre intergénérationnel Cliniques médicales et services professionnels spécialisés Institutions financières et commerçants (épiceries, marché public en saison, boulangerie, cafés, restaurants, dépanneurs, fleuristes, nettoyeurs, cordonnier quincaillerie, salons de coiffure, soins esthétiques, SPA nordique, station service) Forêt, lac, parcs, terrains de soccer, de tennis intérieur et extérieur et terrain de golf
Nouveau pont Champlain avec passage du Réseau électrique métropolitain et station à l’Île-des-Soeurs
Une bonne gouvernance et une saine gestion Les administrateurs ont à coeur de préserver les attraits uniques de La Pyramide en assurant une bonne gouvernance et une saine gestion. La Pyramide s’est refait une beauté avec des travaux d’entretien des façades réalisés en 2016. De plus, des travaux d’entretien régulier sont planifiés, pour les 25 prochaines années, dans l’étude du fonds de prévoyance dont le budget est rigoureusement suivi. Les administrateurs veillent au maintien de la valeur de ce précieux actif par l’entretien méthodique du bâtiment et par la réalisation progressive de projets de revitalisation du patrimoine de La Pyramide. Depuis plusieurs années, la gestion est confiée à l’entreprise Les Immeubles Shibata qui assure la supervision des opérations. Une gérante adjointe est présente sur place à temps plein avec une équipe d’entretien et de surveillance stable et expérimentée.
La Pyramide à l’Île-des-Soeurs 1977-2017 À l’occasion de son 40e anniversaire, le conseil d’administration
Heureux 40e!
Témoignage de Monsieur Guy Fournier Ma dernière histoire d’amour
Elle est tellement différente des autres. Tellement que certains n’aiment pas son genre. Trop nature, trop dépouillée. Des amis s’étonnent même qu’elle me soit tombée dans l’oeil. De loin, je l’avais toujours ignorée. Elle m’a séduit juste quand je l’ai aperçue de près. Un vrai coup de foudre. Mon dernier, j’espère, car je ne veux pas la quitter. Quand je pense que j’aurais pu me retrouver avec elle il y a longtemps. Mais non, il a fallu que j’en fréquente d’autres qui me semblaient toutes plus attirantes. Combien de fois, on court après le bonheur, alors qu’il est tout près. Une erreur classique. Elle m’a frappé parce qu’elle ne ressemble à aucune autre. Parce que ses flancs écartés rappellent vaguement les jambes d’une danseuse qui fait le grand écart. Elle n’est plus jeune, c’est vrai. Encore qu’à quarante ans,peut-on parler de vieillesse? Parlons plutôt de maturité. C’est si vrai qu’il a suffi d’un peu de maquillage, d’un peu de noir sur ses yeux ouverts sur les quatre points cardinaux pour qu’elle rajeunisse de vingt ans. Elle reflète la nature comme pas une. Le matin, quand le soleil se lève, elle devient rose bébé. En plein jour, c’est un miroir qui reproduit les couleurs changeantes du ciel et des nuages. Si le ciel est gris et orageux, s’il est mauvais, elle se fait tellement discrète qu’elle se confond avec lui. Certains soirs, au couchant, elle devient orange ou rouge comme une tomate. La nuit, ce n’est plus qu’un grand phare immobile dominant les berges du Saint-Laurent. Ce n’est pas d’hier que je la connais. Quand je suis arrivé à l’île en 1981, elle y était déjà. Si solitaire, si loin parmi les joncs, les mauvaises herbes et la fardoche qu’on avait l’impression qu’elle était abandonnée. J’ai pensé qu’on la fuyait parce qu’elle n’avait rien de familier, qu’elle détonnait, qu’elle n’avait rien de commun avec les voisins et les voisines qui s’installaient autour. Elle restait à distance comme si elle n’était pas fréquentable. Elle me semblait sortir tout droit de mon livre d’histoire ancienne, celui qui nous racontait l’Égypte et les pharaons. Je l’apercevais de loin. De mon balcon des Jardins de l’archipel, je voyais bien qu’elle n’était pas abandonnée. Quelques personnes marchaient autour ou empruntaient pour la rejoindre une rue poussiéreuse qui avait été faite spécialement pour elle. C’est à l’occasion du mariage de mes amis Maryse Cantin et Fabrice Delafon que je me suis approché de La Pyramide pour la première fois. Approcher, c’est une façon de parler, car il m’a fallu faire marche arrière avec la voiture et stationner rue Berlioz. Sa rue et ses abords étaient sens dessus dessous. Comme s’ils avaient été bombardés. La Pyramide se faisait-elle inhospitalière pour me punir de lui avoir tenu la dragée haute si longtemps? Non, on refaisait simplement ses abords défraîchis. En entrant, c’est sa simplicité qui nous a d’abord frappés. Pas de marbre ostentatoire, pas de sculpture gréco-romaine, pas de candélabre de faux cristal, pas de fauteuils de cuir prétentieux, pas de portier en livrée. Juste un homme ordinaire, poli, correctement vêtu, qui nous a gentiment indiqué les ascenseurs. Ici, même les ascenseurs ne sont pas comme les autres : ils leur manquent des étages! La noce fut inoubliable. Des terrasses du dernier étage où on a bu, mangé et dansé, Montréal avait l’air de Disneyland et le fleuve d’un immense ruban d’eau que la pleine lune faisait chatoyer de mille feux . Est-ce le champagne qui me faisait de l’effet? J’avais l’impression qu’en allongeant le bras, je pourrais toucher le pont Champlain. Je n’aurais jamais pu imaginer pareille fête pour mon premier soir avec La Pyramide. Je ne sais plus à quelle heure nous sommes partis. En quittant le hall, Maryse m’a dit : « C’est ici que je veux venir vivre.» Ce ne serait donc pas seulement une histoire d’un soir! Depuis, huit ans, nous faisons ménage à trois : Maryse, la Pyramide et moi. Jamais ménage à trois n’a été si serein.
Guy Fournier
Témoignage de Madame Manon Sénécal Une longue histoire d’amour Le 1er octobre 1981, j'entrais à La Pyramide. J'accédais alors à la propriété dans le premier condominium de l'Île-des-Soeurs, immeuble recherché pour son excellence architecturale, son lieu de choix et sa construction de haute qualité. Attirée par son concept unique et différent, par ses terrasses, grands balcons et jardins offrant un espace privé au grand air, par cet ensemble hétérogène et harmonieux, par ses balcons incendie offrant un sentiment de sécurité, par l’originalité de mon appartement sur deux niveaux et par le style de vie alliant indépendance et coopération, j’ai été séduite. À cette époque, je ne soupçonnais pas que La Pyramide serait encore plus belle avec l’âge et la maturité de son cadre enchanteur. Ce havre de paix et de beauté me séduit toujours. Puis, il y a quelques années, nous accédions, mon mari et moi, à une vie de retraités urbains dans cet environnement stimulant et convivial. Un cocon de bonheur! Aujourd’hui, riche de mon temps comme retraitée, je redonne à La Pyramide en faisant ma part comme bénévole au sein du conseil d'administration où je siège depuis maintenant trois ans. Avec mes collègues, nous formons une équipe dévouée et engagée qui prend son rôle et ses responsabilités au sérieux et qui a l'intérêt du syndicat à coeur. Cet engagement se veut également un hommage aux bâtisseurs et acteurs du passé qui, grâce à leur vision, leur détermination et leur contribution, nous permettent d’apprécier le présent dans ce lieu incomparable. Plus qu'une grande dame à la robe majestueusement déployée sur la rive du Saint-Laurent, La Pyramide, c'est une communauté de résidents sympathiques grâce à qui il fait bon vivre. Si, il y a 36 ans, j'ai été charmée par La Pyramide, aujourd’hui, j'y suis attachée. C'est tout simple, c’est une histoire d’amour!
Manon Sénécal
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